Feut détouilli ch'l'affoaire

Voici le résumé de la pièce :

 

    Dans ce village, il y a un «moqueu d’gins» qui prend plaisir à taquiner son entourage et parfois méchamment. Il se régale en faisant rire des travers des autres: la vieille fille"soifarde", la parisienne" prout prout ", le facteur un peu mollasson, la pauvre femme qui oublie ce qu’elle veut dire, tout le monde y passe alors que lui-même est loin d’être un exemple, c’est un paresseux, un bois sans soif, un "amblayeu" (vantard)…

      Mais voilà que des choses disparaissent dans le village, provoquant des disputes, des accusations, une rumeur. Quel est le coupable? Ne serait-ce pas un farceur qui a voulu mettre «’fu» entre tous pour encore rire de leur embarras? Ne serait-ce pas ce mauvais plaisantin ? Et si c’est lui, comment se venger en se moquant de lui à son tour ?

 

 

 

et la deuxième partie du spectacle ?

Pour la deuxième partie du spectacle la troupe a accepté de faire plaisir à ses fidèles supporters qui lui réclamaient des sketchs qui ont marqué l’histoire des représentations que nos acteurs locaux ont pu proposer C’est ainsi qu’on a pu  revoir :

 

  • le sketch du téléphone portable.  qui fut tant réclamé a encore été à la hauteur des attentes, Josiane (qui aura bientôt 83 ans) gardera  encore son fan club

  • Le rap du 8.0. Il a été réclamé par Monsieur le Maire, il a été joué en 2011 et on pouvait lire ces avis : Une petite remarque qui a son importance : «Nous habitons dans le neuf/trois mais natifs du huit/zéro. Pas d'inquiétude : nous n'avons brûlé aucune voiture à Epehy ! ! !
    Notre culture musicale ne supporte pas beaucoup le RAP, mais le "
    RAP du 8.0", c'est génial. !» . «...ce rap du 8.0. ! J’en pleurais de rire ...» Et encore deux jeunes filles sont venues dire à la fin d’un spectacle qu’elles avaient eu mal au ventre tellement cela les avait fait rire

  • Les majorettes. qui en 2013 avaient été qualifiées d’un « grand moment» par les spectateurs. Tous ces acteurs sont apparus les uns après les autres, habillés en majorettes et les spectateurs n’ont pu faire autrement que s’esclaffer  et les rires se sont enchaînés avec les différentes évolutions jusqu’à ce que tout le public frappe dans les mains pour accompagner les dernières.

  • Le chanteur russe était lui une nouveauté. Il a permis à François de montrer  ses qualités vocales mais surtout ses expressions qui ne pouvaient que déclencher le rire.

 

Voyez  ici quelques réflexions reçues sur le livre d'or